The Ambassador Fractured Timelines Review: rien de nouveau à voir ici, malheureusement

Situé au carrefour de la haute fantaisie et de la science-fiction, The Ambassador: Fractured Timelines est un jeu qui ne parvient pas à offrir une nouvelle vision du genre sursaturé des tireurs à deux bâtons.

Tu es Gregor : un corpulent, à la barbe impressionnante noviciat dans The Fellowship et en mission pour sauver sa terre à travers des lieux clichés de Tolkienesque embourbés dans des noms qui brouillent la frontière entre référentiel et dérivé - Mount Arawn, Morrigan et The Fellowship, pour n'en nommer que quelques-uns.

Après un rapide passage en revue des capacités et des commandes, qui brise de manière discordante le quatrième mur alors que les personnages se réfèrent à «votre HUD» ou aux caractéristiques de «le niveau», Gregor est brusquement plongé dans ses mésaventures à travers certainement pas la Terre du Milieu.

L'Ambassador Fractured Timelines n'est pas seulement un nom cool sans conséquence; bien que Gregor ne soit pas vraiment un mage puissant, sa capacité de marque à manipuler le temps est certainement utilisée à fond tout au long de votre voyage. Vous l'utilisez pour traverser des ponts en ruine, esquiver les attaques ennemies et vous faufiler à travers des portes chronométrées.

C'est une idée intéressante, même si elle fait rarement partie intégrante de la progression dans les niveaux rapides du jeu, à la Zelda. Alors que les influences lourdes dont The Ambassador Fractured Timelines tire sont les maîtres de l'incorporation d'idées clés dans ses boucles de jeu standard, The Ambassador vous oblige rarement à vous rappeler votre ensemble de mouvements chronophages.

Il est clair que si l'ambassadeur avait fait un meilleur usage de sa manipulation du temps, que ce soit en combat ou en énigmes, cela aurait rendu le jeu beaucoup plus convaincant. Au lieu de cela, les niveaux suivent des schémas identiques : se déplacer dans la zone, tuer tous les ennemis, activer le portail. Rincer et répéter.

Cela n'aide pas que les niveaux individuels se sentent beaucoup trop courts, mais chaque monde contient tellement de niveaux qu'ils se sentent. Il y a un rythme de bégaiement incontournable sans une histoire captivante, des énigmes intrigantes ou une bande-son de brouillage pour vous motiver ; cela donne l'impression que la progression est une corvée.

Examen de l'accessibilité

L'ambassadeur du temps offre peu d'options d'accessibilité. Les graphiques Barebones et les paramètres audio sont disponibles pour le joueur. Bien que les signaux sonores ne soient pas nécessaires pour progresser dans le jeu, ce qui rend le jeu plus accessible aux joueurs sourds ou malentendants.

La police inspirée du Seigneur des Anneaux du jeu est souvent difficile à lire, surtout en mode plein écran où les graphismes pixel art semblent les plus pauvres. Outre le texte, la qualité graphique entraînera des problèmes d'accessibilité pour les joueurs aveugles ou les joueurs ayant une perte de vision. Entre le plafond de fréquence d'images de 30 images par seconde et la baisse massive de la qualité graphique en plein écran, même les joueurs voyants auront du mal à distinguer certains sprites et attaques ennemis de l'arrière-plan.

Décevant, même les boss sont transformés d'ennemis intimidants en ronflements de cakewalk avec le même mécanisme de base qui vous permet d'endurer des ennemis ou des attaques jusqu'à ce que le boss soit vulnérable, ce qui se traduit par une victoire qui semble sans conséquence.

https://youtu.be/Jgfv8rme6Ow

En fin de compte, l'ambassadeur ne se démarque tout simplement pas sur un marché qui regorge de prises de vue plus fraîches et plus innovantes sur la manipulation du temps, le combat de tir à deux bâtons et le pixel art. Si vous aimez le genre, le jeu pourrait valoir la peine d'être joué, mais ne vous attendez pas à des idées uniques.